« Pourquoi suis-je anarchiste ? Parce que je ne peux pas faire autrement ; je ne peux pas être malhonnête envers moi-même ; les conditions d’existence m’oppressent ; et je dois faire quelque chose avec ma tête. »
Comme Simone Weil, elle souffrit dans son corps, vécut ses idées sans compromis, écrivit sans relâche, plaça l’exigence de vérité au-dessus de tout, et mourut jeune.
Éclipsée dans la mémoire collective par Emma Goldman, Voltairine de Cleyre (1866-1912) fut pourtant l’une des femmes anarchistes les (…)